Mise en place en 1981, la politique d’éducation prioritaire a été constamment réaffirmée et a fait l’objet de plusieurs relances. Elle représente aujourd’hui environ un milliard d’euros par an.
A l’occasion de ses deux déplacements dans les académies de Versailles et de Créteil, M. Gérard Longuet, rapporteur spécial, a pu constater les changements rendus possibles par les moyens supplémentaires ainsi dégagés. Leur optimisation dépend de la qualité et de l’engagement de l’équipe pédagogique.
Il regrette néanmoins l’absence d’évaluation des mesures prises en matière d’éducation prioritaire, ainsi que le manque d’articulation entre les politiques publiques liées à l’éducation et celles relatives à la ville.
[http://www.senat.fr->http://www.senat.fr/rap/r07-453/r07-453.pdf]