A Genève, le contexte économique est particulièrement peu propice à l’insertion professionnelle des jeunes non qualifiés. Le fait d’avoir terminé sa scolarité obligatoire ne permet plus d’intégrer dans de bonnes conditions le marché du travail, où les emplois peu qualifiés laissent place à des postes qui requièrent un niveau de formation de plus en plus important. Posséder un diplôme représente donc un « minimum requis » pour envisager sereinement l’avenir. De fait, la situation des élèves qui interrompent prématurément leur formation durant le secondaire II (CITE 3) peut s’avérer problématique. Cette présentation, intitulée « Et si le décrochage scolaire était une entorse au droit à l’éducation ? », s’est centrée sur ces jeunes, non scolarisés et non diplômés, aussi appelés « décrocheurs » ainsi que sur les mesures de remédiations mises en place à Genève.
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