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PREMIÈRE PARTIE : Le métier d’enseignant tel qu’il est prescrit et tel qu’il a été analysé depuis 40 ans …………………………………………………… 3
1. Le métier d’enseignant : des activités communes à tous, des spécificités
1.1. Des activités communes à tous les enseignants
1.2. Les spécificités du métier des enseignants du premier degré
1.2.1. Des invariants du métier depuis le XIXe siècle
1.2.2. Le contexte d’exercice du métier.
1.3. Les spécificités du métier des enseignants du second degré
1.3.1. Un groupe imposant et complexe
1.3.2. La répartition par corps constitue, pour les enseignants, une dimension structurante
1.3.3. L’exercice dans un type d’établissement et l’appartenance à l’équipe enseignante d’un établissement précis constituent un second élément fort de conscience collective
1.3.4. La discipline enseignée constitue une troisième dimension d’identité
1.3.5. Les statuts particuliers arrêtent, de manière assez générale, les missions des professeurs
1.3.6. Un cadrage inégal de deux dimensions importantes de l’activité professionnelle outre l’enseignement dans les classes : la participation aux jurys et la participation aux réunions au sein des établissements
2. Les obligations de service des enseignants
2.1. Le service des enseignants du premier degré
2.2. Le service des professeurs du second degré
2.2.1. Les professeurs de l’enseignement général
2.2.2. Les professeurs de l’enseignement technologique
2.2.3. Les professeurs d’éducation physique et sportive
2.2.4. Les professeurs de lycées professionnels
2.3. Un régime de rémunérations accessoires, différent pour les 1er et 2nd degrés
2.3.1. Les heures supplémentaires
2.3.2. Les indemnités.
3. De nombreuses études sur les activités professionnelles des enseignants depuis 40 ans .
3.1. Des études quantitatives à l’initiative du ministère
3.1.1. Le temps de travail des enseignants du premier degré : une enquête qui date
3.1.2. La dernière étude quantitative sur le temps de travail des enseignants du second degré
3.2. Quarante années de rapports et de propositions : une analyse approfondie de la situation, une impuissance à la faire évoluer.
3.2.1. De 1972 à 2004, des analyses et des propositions convergentes
3.2.2. Le rapport Pochard : la réflexion la plus récente sur la condition enseignante dans sa globalité
Conclusion de la première partie..
DEUXIÈME PARTIE : Les composantes des activités professionnelles des enseignants.
4. Les composantes de l’activité professionnelle des enseignants du premier degré
4.1. Une description des activités assez consensuelle
4.1.1. 24 heures d’enseignement à tous les élèves : une formule qui masque les réalités.
4.1.2. L’aide personnalisée : une composante récente du service, diversement appréciée par les enseignants
4.1.3. L’arrière-plan constant de l’activité d’enseignement
4.1.4. Le travail en équipe et avec des partenaires : des habitudes intégrées
4.1.5. La formation continue : plutôt insatisfaisante et rare.
4.1.6. Des activités variées liées au contexte de travail, à des situations professionnelles particulières ou à des engagements individuels choisis.
4.1.7. Un métier dans le métier : directeur d’école
4.2. Le rapport au travail tel qu’il ressort de l’enquête
4.2.1. Un métier prenant, qui déborde sur la vie privée
4.2.2. Le tournant de 2008 : un autre rapport au temps
4.2.3. Les évolutions des conditions de travail qui pèsent le plus sur le vécu professionnel
5. Les composantes de l’activité professionnelle des enseignants du second degré
5.1. Le premier cercle de l’activité professionnelle des professeurs : la préparation des cours et de l’évaluation des élèves
5.1.1. Préparer ses cours : une activité généralement très absorbante mais non pesante
5.1.2. Corriger les copies (et les autres travaux d’élèves) : une activité laborieuse
5.2. Le deuxième cercle de l’activité enseignante : validation des acquis, organisation et suivi des stages, dispositifs de personnalisation et participation aux examens
5.2.1. La validation institutionnelle des acquis
5.2.2. L’organisation et le suivi des périodes de formation en milieu professionnel (PFMP) et des autres stages .
5.2.3. Les dispositifs de personnalisation
5.2.4. La participation aux examens ponctuels
5.3. Un troisième ensemble de missions concernant de plus en plus
d’enseignants sur le principe du volontariat
5.3.1. Les activités liées majoritairement aux classes
5.3.2. Des responsabilités liées majoritairement à la bonne marche de l’établissement………….
5.3.3. Des activités conduites à l’échelon académique ou national
5.4. La formation continue : une faible place, des attentes diffuses
5.5. Un constat partagé : l’alourdissement des tâches des enseignants
5.5.1. Le regard des professeurs
5.5.2. Le regard des personnels d’encadrement
5.5.3. Le regard des organisations syndicales
5.6. Cet alourdissement des tâches enseignantes est difficile à quantifier, n’est pas porté par tous de la même manière et est mal reconnu
5.6.1. La difficulté de quantification globale du temps de travail tient à des facteurs variés
5.6.2. Les professeurs sont globalement très investis, mais avec de fortes différences individuelles
5.6.3. La prise en compte des tâches « supplémentaires » reste faible et marquée par de sensibles inégalités
5.7. Quelle(s) définition(s) de la mission du professeur ?.
5.7.1. Une volonté des professeurs de ne pas voir remis en cause, au moins profondément, le cadre actuel
5.7.2. Un volontarisme nuancé des personnels d’encadrement
5.7.3. La diversité marquée des options syndicales
Conclusion de la deuxième partie
TROISIÈME PARTIE : Préconisations
6. Perspectives communes à tous les enseignants
6.1. Donner de la visibilité aux composantes des activités professionnelles des enseignants et mettre en place une veille institutionnelle relative à leur évolution
6.1.1. Un cadre réglementaire actualisé et un référentiel-métier partagé
6.1.2. Une veille institutionnelle confiée à un observatoire de la condition enseignante
6.2. Donner aux enseignants les ressources dont ils ont besoin pour mener à bien leurs missions
6.2.1. Une attention plus grande aux stratégies de conduite du changement : informer mieux, accompagner, favoriser la mutualisation de la réflexion
6.2.2. La formation continue : un affaiblissement à corriger
6.3. Penser la trajectoire professionnelle des enseignants de manière dynamique
6.3.1. Des carrières d’enseignant moins uniformes
6.3.2. Des perspectives de mobilité plus évidentes
7. Préconisations pour le premier degré.
7.1. Les obligations de service : conserver le modèle de définition, en repréciser les composantes
7.2. L’unité-école : revoir les critères d’attribution des avantages accordés aux directeurs d’école, instaurer la fonction de coordinateur de cycle
8. Préconisations pour le second degré
8.1. Redéfinir les obligations de service et créer les conditions de travail adaptées au sein de l’établissement
8.2. Faire évoluer la relation entre maximums de services, composantes du métier et conditions d’enseignement
8.3. Revoir le régime des rémunérations accessoires
8.4. Instaurer des fonctions de coordination au sein de l’établissement.
Récapitulation des préconisations
Conclusion.
Annexes