L’une des prestigieuses universités britanniques tente de retenir quelques années de plus ses étudiants les plus brillants sur ses bancs. Objectif : retarder leur entrée sur le marché, dévasté, du travail.
Quelque 2 300 euros : c’est le pécule qu’offre l’université de Durham (nord-est de l’Angleterre), l’une des 10 meilleures facs du royaume, Ã une centaine des étudiants les plus brillants pour leur permettre de poursuivre leurs études en troisième cycle.
Le but de cette mesure est de retarder leur arrivée sur le marché du travail et surtout, de leur éviter une grosse déception : le chômage qui, en cette période de crise, est monnaie courante.
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