Les jeunes sortis de l’enseignement supérieur en 2010,interrogés dans le cadre des enquêtes Génération,n’échappent pas à la dégradation de la conjoncture. Bien que plus diplômés sous l’effet de la réforme du LMD, ils sont plus souvent au chômage et un peu moins rémunérés que leurs prédécesseurs sortis en 2004. Les non-diplômés restent les plus exposés, mais l’insertion des diplômés de la voie professionnelle subit également les effets de la crise.