Contribution de Véronique BORDES et « incitation » Ã répondreQuestions pour aller plus loin :
L’organisation actuelle des territoires et des différents services de l’Etat permet-elle d’envisager un accompagnement dans une formation tout au long de la vie pour les jeunes et pour les adultes ? Permet-elle de construire une identité et d’accéder à une identification ?
Si la jeunesse est considérée comme une menace pour la société nécessitant une prise en charge policière, peut-on la laisser participer et prendre place dans l’échange des savoirs ?
Alors que l’on parle d’un « tronc commun » basique qui serait suffisant pour l’accès au monde du travail de certaines catégories de jeunes, comment peut-on envisager un changement dans notre rapport au savoir et dans une transmission réciproque ?
En quoi ce « tronc commun » serait-il antinomique avec la demande d’une formation tout au long de la vie ?
La formation peut-elle être pensée pour tous comme un échange, alors que dans certains milieux, les adultes issus de l’immigration ne possèdent pas les bases de la culture du pays qui les accueil ? Les jeunes ont-ils, alors, quelque chose à offrir ?
Pourquoi les institutions locales devraient-elles prendre en charge la jeunesse au-delà d’une proposition classique d’activités et de services ?
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