Le principe fondateur est celui d’une neutralité bienveillante, opposée à la veille – vigile qui ne repère que les risques pour autrui par les jeunes, menaçants ou victimes, mais doit les considérer comme ressources, avec un statut symbolique à sujets de droit(s).
La rupture avec les logiques réparatrices et compensatoires des politiques vers les jeunes, s’appuie sur l’hypothèse de leurs potentiels réels et de notre « devoir d’avenir » à leur égard.
C’est pourquoi on peut s’inquiéter du rattachement actuel fréquent des dispositifs de veille aux CLSPD et non au CEL – PEL, dont les logiques et modes d’action divergent sur le fond.

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