In Chronique Sociale :
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Face aux dangers, aux menaces, aux risques constatés à l’École aujourd’hui, il est grand temps de réagir et de construire.
Tout nous conduit à exiger une autre conception de l’École que celle que nous avons connue, que nos enfants et petits-enfants connaissent ou subissent, une autre philosophie de l’éducation dans une approche globale et pas seulement scolaire, une autre conception de l’homme et de la société que celle qui se construit aujourd’hui, une nouvelle société aux antipodes de la société des gagnants et des experts. Une conception de l’homme fondée sur la confiance et sur une vision optimiste de l’avenir.
Un homme qui ne soit pas qu’un récepteur passif et obéissant, un exécutant, mais un acteur capable d’exercer des responsabilités individuelles et collectives, de penser et de le dire, de se construire avec les autres tout au long de sa vie.
Le temps des catalogues de mesures, des plans élaborés par des spécialistes est révolu. Il faut agir sur un petit nombre de leviers déterminants. Six leviers pourraient être considérés comme des préalables ou les fondements d’une grande et vraie réforme pour les 30 ou 40 ans qui viennent :
– s’accorder sur une vision du futur sans calcul partisan ;
– s’imposer un regard positif sur les élèves, les enseignants, les parents ;
– changer fondamentalement les programmes et garantir l’articulation finalités/objectifs/savoirs scolaires ;
– changer les structures, les missions des enseignants ;
– agir sur l’espace, le territoire, et sur le temps, la durée ;
– donner toute sa place à la pédagogie.
Il s’agit de réfléchir ensemble.
L’avenir ne pourra se construire sans mobiliser toutes les forces concernées par l’éducation, sans l’adhésion des citoyennes et des citoyens au-delà des clivages politiciens et des alternances électorales.
Tout nous conduit à exiger une autre conception de l’École que celle que nous avons connue, que nos enfants et petits-enfants connaissent ou subissent, une autre philosophie de l’éducation dans une approche globale et pas seulement scolaire, une autre conception de l’homme et de la société que celle qui se construit aujourd’hui, une nouvelle société aux antipodes de la société des gagnants et des experts. Une conception de l’homme fondée sur la confiance et sur une vision optimiste de l’avenir.
Un homme qui ne soit pas qu’un récepteur passif et obéissant, un exécutant, mais un acteur capable d’exercer des responsabilités individuelles et collectives, de penser et de le dire, de se construire avec les autres tout au long de sa vie.
Le temps des catalogues de mesures, des plans élaborés par des spécialistes est révolu. Il faut agir sur un petit nombre de leviers déterminants. Six leviers pourraient être considérés comme des préalables ou les fondements d’une grande et vraie réforme pour les 30 ou 40 ans qui viennent :
– s’accorder sur une vision du futur sans calcul partisan ;
– s’imposer un regard positif sur les élèves, les enseignants, les parents ;
– changer fondamentalement les programmes et garantir l’articulation finalités/objectifs/savoirs scolaires ;
– changer les structures, les missions des enseignants ;
– agir sur l’espace, le territoire, et sur le temps, la durée ;
– donner toute sa place à la pédagogie.
Il s’agit de réfléchir ensemble.
L’avenir ne pourra se construire sans mobiliser toutes les forces concernées par l’éducation, sans l’adhésion des citoyennes et des citoyens au-delà des clivages politiciens et des alternances électorales.
Categories: 3.12 Education Nationale