In OECD – Educationtoday – le 22 juillet 2014 :
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Compensation des désavantages socio-économique des élèves est l’un des plus grands défis auxquels sont confrontés les enseignants, les directeurs d’écoles et les systèmes éducatifs dans leur ensemble. Toutefois, les données du PISA montrent que certains pays sont beaucoup mieux à ce que d’autres.
Considérons le tableau ci-dessus. L’axe horizontal indique le pourcentage d’enseignants du secondaire inférieur qui travaillent dans les écoles où leur capital rapporté que plus de 30% des élèves de leur école étaient de homes.1 défavorisés L’axe vertical indique le pourcentage réel de 15 ans les étudiants issus de milieux maisons, mesurés par l’indice normalisé au plan international de PISA qui résume les différents indicateurs de développement socio-économique inconvénient, y compris les parents de niveau de revenu et l’éducation, des ressources éducatives à la maison, et d’autres possessions.2 de famille en d’autres termes, l’axe horizontal reflète les directeurs d’école de la perception de désavantage par rapport aux normes nationales, tandis que l’axe vertical reflète la prévalence de désavantage par rapport à l’échelle internationale.
Brésil, le Chili, la Malaisie, le Mexique et le Portugal se trouvent dans le coin supérieur droit de la carte parce que leurs écoles ont une grande part des enfants défavorisés et qui s’aligne avec les rapports des directeurs. Le coin inférieur gauche comprend la République tchèque, le Danemark, la Finlande, l’Islande, le Japon, la Corée et la Norvège où le désavantage dans les écoles est limité, et moins d’un sur dix principes rapports disadvantage.3 important Ce sont les résultats que l’on peut attendre.
Mais inconvénient réel et la perception du désavantage des directeurs d’école ne correspondent pas toujours: 65% des directeurs aux États-Unis disent que plus de 30% de leurs élèves sont issus de familles défavorisées, beaucoup plus que dans tout autre pays. Toutefois, le pourcentage réel d’élèves défavorisés signalés par PISA est à seulement 13%, légèrement supérieur à celui du Japon et de la Corée; mais dans ces deux pays, seulement 6% et 9% des directeurs, respectivement, font état d’une part comparable des élèves défavorisés dans leurs écoles. En d’autres termes, l’incidence réelle de la pauvreté des enfants est à peu près la même entre ces trois pays, mais plus de six fois plus nombreux directeurs américains a rapporté que plus de 30% de leurs étudiants sont défavorisés. Inversement, en Croatie, en Serbie et Singapour, plus de 20% des étudiants sont défavorisés, tandis que 7% ou moins des directeurs signalent d’importantes populations d’élèves défavorisés.
De toute évidence, un enfant considéré comme pauvre aux États-Unis peut être considérée comme relativement riche dans un autre pays, mais le fait que le problème perçu de désavantage socio–économique des étudiants est d’autant plus grande aux États-Unis – et en France aussi – que la milieux réels des étudiants suggèrent également que ce directeurs d’écoles dans certains pays considèrent comme un désavantage social ne serait pas considéré comme dans d’autres.
Et il ya une troisième dimension importante, à savoir l’impact réel d’un désavantage sur les résultats d’apprentissage, qui est représentée par la taille des cercles dans le chart.4 Cet impact indique si un système d’éducation offre des possibilités d’apprentissage équitables. Dans des pays comme la Finlande, l’Islande et la Norvège, on s’attendrait à ce que cet impact sera faible parce que ces pays ont très peu de désavantage socio-économique de leurs populations d’élèves. La réalisation de l’équité à l’école est facile lorsque la société distribue la richesse et l’éducation familiale équitable. Mais les exemples les plus impressionnants des pays comme PISA haut-interprète Singapour, où le désavantage est importante, mais son impact sur les résultats d’apprentissage est modérée. Ces pays semblent très bon à nourrir les talents extraordinaires des étudiants ordinaires et à veiller à ce que chaque élève bénéficie d’un excellent enseignement. En revanche, la France a une part relativement faible des élèves défavorisés, mais les directeurs d’école percevoir cette part soit grande, et les résultats d’apprentissage des élèves sont étroitement liées à l’origine sociale – de plus près, en effet, que dans tout autre pays à l’exception du Chili et de la République slovaque République. Plus généralement, les résultats montrent que la perception du handicap des directions d’école en corrélation avec les inégalités dans les possibilités d’éducation plus fortement que ne désavantage réel.
Il est une autre façon de voir les choses: En Corée et à Singapour, plus d’un élève sur deux de le quart inférieur de la partition du spectre socio-économique entre le quartier le plus compétent des étudiants du monde sur PISA; au Japon, 45% des élèves défavorisés sont de la même «résilience» et de meilleures performances au test du PISA que leurs origines seraient à prévoir. En revanche, en France et aux États-Unis, seulement 20% des étudiants sont résilients, et en Israël, seulement un sur 10 est.
Alors qu’est-ce que tout cela signifie? Désavantage socio-économique est un défi pour les éducateurs partout, mais dans des pays comme la France et les Etats-Unis, cet inconvénient perçu est beaucoup plus grande que réel désavantage et cela fait une différence significative pour le rendement des élèves. Dans des pays comme Singapour, véritable inconvénient est beaucoup plus grande que la perception de celui-ci directeurs d’école, mais les écoles de Singapour semblent être en mesure d’aider leurs élèves à surmonter ce désavantage.
1 Ou plus précisément, le pourcentage d’enseignants cycle du secondaire dans les écoles dont les directeurs ont indiqué que plus de 30% des élèves sont issus de milieux défavorisés. Les données sont fondées sur l’enseignement et l’apprentissage, Enquête internationale de l’OCDE (TALIS), qui est représentatif de la force de l’enseignement dans les pays participants.
2. Considéré comme le Programme international pour le suivi des élèves (PISA) de l’indice de statut économique, social et culturel (SESC).
3. important ici signifie que plus de 30% des élèves issus de milieux défavorisés à l’école.
4. mesurée ici par le pourcentage de variation de la performance en mathématiques qui est expliquée par l’indice PISA de statut économique, social et culturel (SESC).