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Qu’il est difficile l’exercice de la bibliographie à vocation pédagogique… Surtout quand il faut être concis ! Pour ne pas sombrer dans l’excès et pour donner du sens à mes choix, il me semble utile d’essayer de répondre au mieux à trois exigences.

La première concerne la nécessité de concilier les indispensables textes fondateurs des chercheurs établis avec les publications des jeunes chercheurs. C’est bien l’association d’un cadre de référence stable avec ces propositions nouvelles, même si elles sont fragiles, qui suscitent et alimentent l’imagination créatrice du chercheur comme celle du praticien ou de l’étudiant.

Il s’agit ensuite de trouver un équilibre entre les travaux les plus conceptuels qui nous aident à structurer notre pensée et les démarches les plus proches du terrain qui facilitent l’ancrage à la réalité des terrains et des questionnements. Là aussi, certains peuvent être très intéressants quand bien même leurs assises théoriques restent précaires.

La troisième exigence consiste à ne pas confondre actualité et nouveauté. Il est indispensable d’installer nos problématiques et leur traitement scientifique dans une perspective historique. Rien ne ressemble plus, par exemple, aux questions soulevées par l’irruption d’internet comme source d’informations concurrente des institutions éducatives que la consommation massive de la télévision dès les années 70 et 80.

Tout invite, finalement à élaborer des bibliographies qui structurent un champ conceptuel, donnent envie de lire et suscitent la curiosité. Bref des bibliographies pensées comme des points de départ. En ce sens, pourquoi ne pas revendiquer, en lieu et place d’une exhaustivité de bon aloi, un éclectisme assumé, heuristique, incitatif et, pourquoi non, un parti-pris provocateur ?

Professeur en sciences de l’information et de la communication, mes recherches portent sur l’acculturation numérique dans le champ de l’éducation. J’enseigne dans trois masters qui tous traitent d’ingénierie éducative (MIME et EUROMIME à l’université de Poitiers, MADOS à l’ESEN). Si les trois s’adressent à des publics différents, ils ont en partage une réflexion sur le rôle joué par les technologies numériques dans la transformation des pratiques professionnelles de tous ceux qui concourent à l’élaboration, au développement et à la mise en œuvre d’environnements d’apprentissage médiatisés. L’un des cours que j’y donne s’intitule « Culture numérique et médiation instrumentale ». Il vise à fournir des repères sur les dimensions culturelles et sociales des usages du numérique. Il cherche à alimenter la construction d’une réflexion sur les transformations que les usages massifs des technologies numériques opèrent sur les conditions d’exercice de toutes les professions d’éducation. Pour ce faire, Il a aussi pour objectif de montrer les processus par lesquels les technologies sont agissantes dans nos rapports au monde et en particulier notre relation à l’information et nos interactions sociales. Il ne traite pas d’ingénierie de formation en tant que telle.

Pour ce faire, ma proposition bibliographique s’organise en quatre points. Partant d’un cadrage conceptuel général destiné à appréhender la culture numérique, elle propose d’en déterminer les processus fondamentaux autour de la notion de médiation instrumentale. Elle invite ensuite à prendre connaissance de travaux sur la dimension culturelle des réseaux socionumériques avant d’aborder la question de la culture numérique dans le champ de l’éducation.

La culture à l’ère numérique

Difficile de discuter le pseudo-concept de « culture numérique » sans traiter d’abord du concept de « culture ». Il s’agit certes d’un détour mais il se révèle utile pour ne pas confondre culture numérique avec pratique des technologies. Même si l’histoire des travaux scientifiques sur la culture est relativement courte, sa complexité appelle une vision diachronique synthétique que des ouvrages de vulgarisation comme ceux de Denis Cuche (2004) et de Laurent Fleury (2008). Cette trame établie, quelques grands auteurs s’imposent. On peut commencer par Michel de Certeau. Ses propos sur l’usage des technologies en font un auteur particulièrement intéressant dans le champ des technologies éducatives. Dans son ouvrage « La culture au pluriel » (1993), il propose une définition multidimensionnelle assez classique de la culture qui présente les limites connues d’une approche descriptive « pointilliste » tout en présentant l’avantage de pouvoir servir de base à l’élaboration d’instruments d’investigation. Cette limite est largement dépassée lorsqu’il montre comment l’assujettissement social est malmené par la capacité de chacun à orienter sa propre trajectoire. C’est dans « Les arts de faire » (1980) que son propos rejoint ainsi la démarche engagée des cultural studies. Erving Goffman est auteur important pour la compréhension de la dimension culturelle des comportements individuels, notamment lorsqu’ils sont instrumentés. S’appuyant sur la notion de cadre proposée par Gregory Bateson (1977), il élabore le concept de cadre d’expérience (Goffman, 1991) qui contraint l’appréhension de la réalité et les comportements. La sélection et la mise en œuvre d’un artefact numérique peut ainsi être expliquée en fonction de ce cadre d’expérience, c’est-à-dire la singularité de l’appréhension individuelle de la réalité sociale.

L’intégralité de l’œuvre de Pierre Bourdieu contribue à la compréhension de ce qui fait culture, du rôle qu’y jouent les médias et du rôle déterminant des appartenances sociales. Difficile de conseiller une publication plutôt qu’une autre tant ses travaux sont passionnants et/mais intriqués. Je recommande pourtant la lecture d’un article bref, « Les trois états du capital culturel » (1979) qui aide à réfléchir sur les indicateurs du capital culturel individuel, parfaitement applicable à nos questionnements sur la culture numérique. Les recherches de Bernard Lahire qui se pose en héritier critique de Pierre Bourdieu permettent une compréhension plus fine de la façon dont les individus agissent en fonction de la coloration sociale de leurs cadres d’expérience. Il montre comment l’individu règle son comportement selon ces matrices de socialisation (1998, 2004). Voilà qui aide à comprendre pourquoi les pratiques personnelles des technologies numériques ne sont pas toujours transposées dans la vie professionnelle. Voilà qui éclaire le peu d’appétence des élèves à utiliser les technologies numériques à l’École à des fins scolaires quand ils en sont si friands pour leurs propres usages (Cerisier & Popuri, 2011).

Se pose ensuite la question de l’acculturation dans une acception relativiste de la culture. Comment des questionnements de praticiens très médiatiques comme ceux posés par Marc Prensky sur les « digital natives » (2001) trouvent-ils un écho dans la recherche ? La question posée est celle de l’acculturation numérique. Il semble heuristique de lire les spécialistes des aspects culturels attachés aux processus migratoires. Le modèle proposé par John W. Berry et David L. Sam (1997), même s’il est très schématique, permet de se questionner sur les processus individuels et collectifs qui permettent d’analyser le passage d’une culture à une autre. On peut l’appliquer à la diffusion massive et rapide des technologies numériques pour en analyser les processus (Cerisier, 2008) . Pour nuancer cette approche et la compléter, la lecture de Roger Bastide est utile. Dans différentes études comme dans celles qu’il a réalisées au Brésil (Bastide, 1960), il met en évidence la dimension psychologique de l’acculturation en observant que ce sont bien des hommes qui entrent en relation et non des cultures. Pour terminer cette première partie, il convient d’ajouter les travaux récents d’Olivier Donnat (2009) qui soulignent la prégnance des écrans de toutes sortes dans les pratiques culturelles des français. Son enquête très détaillée renvoie les technologies numériques à ce qu’elles sont, non pas une culture en elle-même mais un élément déterminant de notre culture. Le titre de son en ouvrage en témoigne puisqu’il évoque non pas la « culture numérique des français » mais « les pratiques culturelles des français à l’ère numérique ». La formule a largement été reprise.

Technologies numériques et médiation instrumentale

Ce cadre conceptuel posé, il devient possible d’aborder plus spécifiquement la question de la médiation instrumentale. La question est alors celle de la compréhension du rôle joué par l’instrumentation numérique dans le rapport de l’individu à son milieu. Ce concept d’instrumentation est central et l’analyse qu’en fait Pierre Rabardel (1995, 2007) est éclairante. Il y développe notamment le concept de médiation qui rend en particulier compte de la façon dont l’instrumentation transforme la relation du sujet à l’objet de l’instrumentation. Cette notion est aussi traitée par Daniel Peraya (2009, 2010) qui la précise en identifiant cinq registres de médiation et qui en spécifie la nature et les conséquences dans le champ de l’ingénierie éducative. L’analyse de la médiation instrumentale suppose l’usage ce qui soulève la question de l’acceptation des technologies. Les travaux abondent qui abordent ce point. On peut lire avec profit et malgré leurs limites, tous ceux qui reposent sur la théorie de l’action raisonnée, à commencer par l’article initiateur de Martin Fishbein et d’Icek Ajzen (1975) puis l’article très connu de Fred D. Davis qui présente son modèle d’acceptation des technologies (1986, 1989).

Dimension culturelle des usages du numérique : l’exemple des médias sociaux

On peut alors s’intéresser à des problématiques d’usage des technologies numériques de façon plus concrète à partir d’un seul thème. Celui des réseaux socionumériques s’impose par son actualité. « Ces réseaux numériques dits sociaux », ouvrage coordonné par Thomas Stenger et Alexandre Coutant (2012) fait le point sur la spécificité des réseaux socionumériques qu’ils problématisent. Les travaux de Dominique Cardon (2008, 2010) sont passionnants pour comprendre comment la médiation des plateformes de réseaux socionumériques transforme notre sociabilité.

Danah Boyd est bien connue des chercheurs et des praticiens français à la fois par sa position au sein du centre de recherche de Microsoft et par ces travaux précurseurs sur les usages de MySpace par les jeunes en 2007. Elle vient de publier avec Nancy K. Baym (2012) un article qui explore la question complexe du rôle des médias sociaux sur les frontières des espaces personnels et publics.

Enfin, la crainte largement partagée socialement des dangers auxquels les adolescents s’exposeraient avec l’usage des réseaux socionumériques est largement relativisée par différents travaux parmi lesquels on peut conseiller l’article de Marlène Loicq (2011) dans le premier numéro des cahiers francophones de l’éducation aux médias et l’ouvrage récent de Roxana Morduchowicz qui s’appuie sur une large enquête en Argentine. Toutes deux concluent que la diabolisation des réseaux socionumériques rend compte d’inquiétudes légitimes mais de peurs infondées. Elles montrent comment et combien les usages adolescents de Facebook jouent un rôle dans l’expérimentation de soi et la construction de la personnalité.

La culture numérique dans le champ de l’éducation

Reste à aborder la question la plus importante de l’acculturation des institutions éducatives, du rôle que les technologies numériques y jouent et de l’impact qu’elles ont en retour. Là encore, la littérature est abondante même si la problématique est loin d’être épuisée. On gagnera à lire ou relire les travaux des chercheurs qui ont travaillé cette question à propos de la télévision et de l’audiovisuel dans les années 60, 70 et 80. À commencer bien sûr par les articles de Georges Friedmann (1961) et de Louis Porcher (1974) qui affirment le rôle éducatif de la télévision qui vient se positionner comme une « école parallèle » et qui questionnent les institutions éducatives sur leur posture et leurs nécessaires évolutions.

Impossible ensuite de manquer l’ouvrage de référence de Geneviève Jacquinot-Delaunay, « Image et pédagogie », qui vient de faire l’objet d’une réédition augmentée d’un entretien avec Joëlle Le Marec aux Editions des Archives Contemporaines (2012). L’histoire des technologies numériques dans l’éducation est récente mais trop complexe pour être appréhendée sans repères. Dans le contexte français, ce sont les travaux de Georges-Louis Baron et d’Eric Bruillard (1996) et ceux, plus récents de François-Xavier Bernard et de Rodica Ailincai (2012) qui pourront les fournir. Une autre lecture de cette histoire est proposée par Pierre Moeglin (2005), en mobilisant le concept d’industrialisation pour analyser les évolutions conjointes des modes de communication et d’éducation. Bruno Devauchelle (2012) pose lui aussi cette question sous un autre angle, celui de l’évolution des lieux de savoirs. L’acculturation numérique à l’École pose aussi bien la question de l’acculturation des jeunes que celle de l’institution scolaire.

Pour ce qui concerne les jeunes, on pourra notamment lire Cédric Fluckiger qui montre que l’usage intensif des technologies numériques par les jeunes ne garantit pas qu’ils en aient une maîtrise suffisante pour des usages autonomes et complexes. S’agissant des institutions éducatives, deux textes ouvriront des pistes de réflexion sur leurs évolutions à l’ère du numérique. Le premier est l’ouvrage réalisé par Didier Paquelin (2009) qui traite de l’appropriation des dispositifs numériques de formation. Le deuxième, qui conclut cette bibliographie est un article de Geneviève Jacquinot-Delaunay (2011) qui constate le décalage qui s’accroit entre notre culture à l’ère du numérique et nos institutions éducatives. Réitérant une analyse déjà publiée dans un article publié en 1981 qui montre que les médias ne sont pas une « fenêtre ouverte sur le monde » mais plutôt une nouvelle façon de le penser, elle en appelle à une refondation de l’École à l’heure des médiacultures.

Bibliographie

Baron, G.-L., & Bruillard, E., L’informatique et ses usagers dans l’éducation, Paris, PUF, 1996, 312 p.

Bastide, R., Les Religions afro-brésiliennes. Vers une sociologie des interpénétrations de civilisations, Paris, Presses Universitaires de France, 1960.

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Pour citer cet article

Référence électronique

Jean-François Cerisier, « La culture numérique dans le champ de l’éducation, quelques références bibliographiques », Distances et médiations des savoirs [En ligne], 1 | 2012, mis en ligne le 12 décembre 2012, consulté le 14 avril 2013. URL : http://dms.revues.org/163

Auteur

Jean-François Cerisier

Université de Poitiers (TECHNE – EA 6316), cerisier@univ-poitiers.fr

 

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