Rapport à Monsieur le Ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche
Les différents domaines qui viennent d’être ainsi évoqués montrent que l’EPLE tend à devenir auquel on s’adresse systématiquement ; la mission souvent entendu qu’ « il fait tout parce que c’est l’endroit où l’on sait pouvoir trouver des solutions ».
D’une certaine manière, on comprend pourquoi c’est l’EPLE qui est sollicité : il est « devenu le dernier lieu de socialisation près la disparition du service national ». La demande sociale « est légitime, mais jusqu’où « faudra-t-il aller, où cela s’arrêtera-t-il ? ».
Certains chefs d’établissement, qui ont le sentiment que le ministère de l’Education nationale « a une vision virtuelle de l’EPLE » , sont particulièrement virulents sur ce point :
« Comme on ne peut pas tout faire correctement, on nous pousse au faux-semblant et à la désobéissance » ; « pourquoi ne pas faire davantage appel à des partenaires extérieurs ? » ; toutes « ces tâches accumulées sans moyens supplémentaires sont effectuées dans de mauvaises conditions et au prix d’horaires insupportables pour nous-mêmes et nos collaborateurs ».
L’inscription de l’établissement dans un projet de développement du territoire reste encore une donnée qui mérite d’être intégrée plus largement.
[http://media.education.gouv.fr/file/35/8/4358.pdf->http://media.education.gouv.fr/file/35/8/4358.pdf]
[http://www-education-gouv-fr.aw.atosorigin.com/cid4526/l-e.p.l.e.-et-ses-missions.html->http://www-education-gouv-fr.aw.atosorigin.com/cid4526/l-e.p.l.e.-et-ses-missions.html]