INTRODUCTION
DIAGNOSTIC
1 – La politique de l’éducation prioritaire : public et territoires concernés, dispositifs, acteurs, moyens
1.1 – L’éducation prioritaire est justifiée par l’impact de la concentration des difficultés sociales sur la réussite scolaire
1.2 – Un ensemble d’établissements et d’écoles qui n’a cessé de s’étendre sans remise en cause de l’adéquation réelle de la carte avec les difficultés rencontrées
1.3 – Les zonages de la politique de la ville recouvrent bien le cœur urbain de l’éducation prioritaire
1.4 – Des dispositifs propres à l’éducation prioritaire qui ont varié dans le temps mais reposent aujourd’hui sur le travail en réseau, des dispositifs dits d’accompagnement » qui ont pu perturber le sens donné à l’éducation prioritaire
1.5 – Des acteurs nombreux qui ont appris à travailler ensemble mais doivent encore mieux se connaître et se reconnaître…
1.6 – Des moyens significatifs que la Cour des comptes et l’OCDE trouvent pourtant insuffisants
2 – Les objectifs de l’éducation prioritaire
2.1 – Un objectif stratégique de réduction des écarts de réussite scolaire régulièrement rappelé
2.2 – Des objectifs opérationnels flous, variables dans le temps, et pas toujours pertinents
2.3 – Un besoin d’adaptation des objectifs à la diversité des situations rencontrées
3 – Que peut-on dire de l’efficacité de l’éducation prioritaire ?
3.1 – Des difficultés à évaluer cette efficacité
3.2 – Des résultats globalement décevants et inégaux selon les niveaux, les académies et les réseaux
3.3 – Quelques réseaux produisent des résultats remarquables
3.4 – Un contexte de dégradation des conditions sociales dans les quartiers les plus difficiles
4 – Les moyens alloués et leurs usages : la question de l’efficience de l’éducation prioritaire et de son pilotage
4.1 – Des moyens aux usages peu diversifiés et aux effets incertains
4.2 – Des moyens concentrés sur l’encadrement des élèves : leur apport à la réussite scolaire n’apparaît pas clairement
4.3 – Les postes ou missions spécifiques contribuent très utilement à l’amélioration du travail collectif
4.4 – Des dispositions relatives aux ressources humaines qui n’ont pas d’effet significatif en matière d’attractivité.
4.5 – Les mesures relatives aux ressources humaines n’ont qu’un effet limité sur lemaintien des personnels en éducation prioritaire
4.6 – Les indemnités servent essentiellement à reconnaître la spécificité de l’exercice professionnel en éducation prioritaire
4.7 – L’accompagnement et la formation des personnels produisent les effets les plus remarquables
4.8 – Un pilotage national qui a connu des hauts et des bas
4.9 – Un pilotage déconcentré hétérogène
5 – Les leviers d’action possibles pour une éducation prioritaire plus efficace
5.1 – Un périmètre et des objectifs à repréciser
5.2 – Des leviers éducatifs et pédagogiques efficaces à mettre en œuvre dans tous les réseaux
5.3 – Des leviers relatifs aux ressources humaines à développer au plus près de chacun des réseaux
5.4 – Le pilotage et l’articulation des politiques publiques nécessitent davantage de cohérence et de continuité ..
5.5 – Des moyens qui doivent être consacrés aux leviers les plus efficaces
CONCLUSION
ANNEXES :
Fonds documentaire utilisé
Entretiens réalisés dans le cadre du diagnostic