Qu’un enfant dise s’ennuyer n’a a priori rien d’inquiétant. Cet état subjectif particulier demande à être estimé à sa juste valeur. Le banaliser, tout comme en faire d’emblée un trait psychopathologique, peut faire passer à côté de ses véritables enjeux. De plus, cet ennui se doit aussi de trouver son « traitement », ce qui nous a conduit à remettre en lumière, à revaloriser ce que l’on nomme jeu, mais en l’extrayant de cette dimension ludique ou divertissante qu’on lui attribue généralement. Ennui et jeu peuvent alors s’articuler et éclairer mutuellement les enjeux de l’un et de l’autre.
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